(sur e-soutien)
D’après votre lien, je comprends que vous préférez en rester à des propositions, sans qu’on puisse les interpréter comme des revendications. Et que vous attendez qu’une forme officielle soit donnée aux travaux pour y contribuer. Cela ne tient pas compte des blocages contre lesquels il faut lutter. (more…)
(extrait d’une réponse faite sur e-soutien)
Il y a deux aspects qui m’importent, dans ce qui se passe dans le Mouvement Démocrate aujourd’hui. Le premier concerne sa capacité à s’organiser sous des formes qui lui permettent de devenir un parti aussi puissant que le sont ses deux rivaux. Cela m’importe, car sinon, la dynamique populaire dont vous parlez ne sera qu’une dynamique populiste, et sa réussite pourrait faire passer notre pays du profond malaise à une crise aigüe. (more…)
Nous sommes au comble de l’inefficacité pratique, en même temps que dans une sorte de régime interne féodal, tempéré de néo-populisme. Ce qui donnent raison à ceux qui font des rapports entre la démocratie interne et l’efficacité du mouvement une affaire d’équilibre. Le dosage est parfait.
(sur e-soutiens, à propos de la formule qui achève le message de voeux envoyé en SMS aux adhérents)
Mon intuition me dit que si Sumergocogito s’était choisi le point de départ de Descartes, autrement dit “je pense”, il aurait fait comme Descartes : il ne serait plus là depuis longtemps. Car il y a dans “je pense” un point de départ vers ailleurs. Le point de départ des “passions de l’âme” autant que de la raison, d’ailleurs. Qui s’assume comme liberté.
C’est un Libéral Démocrate britannique, Watson Graham, qui préside l’Alliance des Démocrates et des Libéraux pour l’Europe. L’ADLE compte 88 députés européens, dont 11 issus de l’UDF ou apparentés. Les parlementaires Marielle de Sarnez, Jean-Marie Cavada, et Philippe Morillon sont membres du Bureau de l’ADLE. (more…)
Vous connaissez le jeu Jacques-a-dit. “Jacques a dit : levez un bras !”, alors on lève un bras. Au début, au congrès c’était un peu comme ça. Sauf que c’était pas Jacques. C’était François. Un pro du “Jacques a dit”.
Je sais, le jeu paraît simple. Mais avec un pro, ça peut devenir très compliqué. Vous allez voir.
La foi en Bayrou augmente chez les uns à mesure que son crédit baisse chez les autres. Au lieu des critiques lucides et de la confiance mesurée en lesquelles il aurait trouvé la meilleure inspiration de ses choix au sujet de notre mouvement, il trouve ces dispositions à l’état séparé et sous leur forme extrême : la Foi d’un côté, la méfiance de l’autre. (more…)