Pour répondre à l’idée selon laquelle la méthode de Construire en Mouvement était “excellente”, mais qu’elle ne respectait pas “les préséances”.
Si notre clochard mystique ne craignait pas de se contredire d’une manière trop flagrante, il adopterait votre position, qui est solide. Je trouve qu’elle lève bien des malentendus. (more…)
Pour répondre à : “…ils essayent, une fois de plus, par tous les moyens de passer pour d’honorables victimes.”
Je vois que j’ai été trop allusif. En faisant référence à la déclaration de Marielle de Sarnez, la perdante, qui concernait Delanoë, le gagnant, c’est bien le sens de l’honneur tel qu’il s’éprouve dans la défaite que j’illustrais. Cette déclaration abjecte n’a pas fait l’objet de mesures disciplinaires. Vous y êtes par là-même collectivement associés. Pas moi, puisque je m’en suis fermement désolidarisé. C’est ce que j’appelle prendre soin de son honneur. (more…)
Pour répondre à “Ceux qui “sont venus, comme Alexandre,…” ont prouvé qu’ils n’étaient pas de géniaux stratèges”.
Ils se sont conduits loyalement, en travaillant en toute transparence, dans les règles, en présentant des propositions qui méritaient d’être traitées autrement. Ce qui réalisait bien les conditions d’une sorte d’épreuve de stratégie, mais pas celle que vous dites. Au contraire. Une épreuve qui n’était probante qu’à condition de jouer purement et simplement le jeu. Voici l’alternative tel qu’elle se présentait : (more…)
A ceux qui voudraient mieux comprendre les faits relatés par Eric Julliard sur France Démocrate, je recommande la lecture du compte rendu fait sur le même site de la réunion du 8 mai.
De mémoire, il me semble que Bayrou cite ce qu’il a lu sur le blog de Farid Taha en prétendant qu’il a reçu ce message par mail. Plus loin, il mentionne ceci :
“Hier soir, je discutais avec Éric Julliard jusqu’à une heure avancée. J’ai appris une chose dans la vie. On peut relire tous mes éditos de quand j’avais 20 ans, ils sont toujours d’actualité, mais au fond de moi j’étais autogestionnaire, je croyais que les groupes humains peuvent se diriger tous seuls. J’ai appris depuis que les partis, quand ils n’ont pas de chef, meurent”.
En quoi seraient-ce de bons points de départ ? (more…)
Dans le cours d’un dialogue sur e-soutien avec Thierry Sorin, à propos d’un débat entre Régis Debray et Jacques Julliard publié dans Le Monde du 1er juin, intitulé : “L’opinion, maladie infantile ou sénile de la démocratie ?”.
Cela me rappelle que je m’étais promis de faire une petite expérience, pour différencier concrètement : (more…)