Fêtons ensemble le triomphe de l’emberlificotage et du rabougrissement
Pour répondre à : “…ils essayent, une fois de plus, par tous les moyens de passer pour d’honorables victimes.”
Je vois que j’ai été trop allusif. En faisant référence à la déclaration de Marielle de Sarnez, la perdante, qui concernait Delanoë, le gagnant, c’est bien le sens de l’honneur tel qu’il s’éprouve dans la défaite que j’illustrais. Cette déclaration abjecte n’a pas fait l’objet de mesures disciplinaires. Vous y êtes par là-même collectivement associés. Pas moi, puisque je m’en suis fermement désolidarisé. C’est ce que j’appelle prendre soin de son honneur.
C’est Marielle de Sarnez qui se voit en victime, pas moi. Si cette évidence vous échappe, je crains fort que toute la logique de l’honneur, en particulier dans son lien avec la responsabilité, vous soit pour toujours inaccessible.
Notre démonstration a été bien menée et son caractère probant préservé jusqu’au bout, en dépit des difficultés. Ce triomphe du rabougrissement et de l’emberlificotage n’est certes pas le nôtre. Nous trouvons cependant sans trop de mal des raisons solides de nous en réjouir.
Pour ma part, je n’en suis pas à mon premier échec dans ce mouvement. Je les ai reconnus à chaque fois publiquement. En annonçant qu’il y en aurait d’autres. Sans jamais me vautrer dans la haine, ni menacer personne de ma vengeance.
Pourquoi cette rancune ? Pourquoi ces mesquineries ? Fêtons votre victoire ensemble.